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HALIFAX GROUPES LOURDS FRANCAIS SQUADRONS 346 et 347 R.A.F
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29 janvier 2013

GRANDCAMP-MAISY SAMEDI 25 MAI 2013 ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

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Mémorial des Groupes Lourds, Grandcamp-Maisy

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Samedi 25 mai 2013

Assemblée Générale Ordinaire

à

GRANDCAMP-MAISY

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Messe à l'église Notre Dame de Grandcamp-Maisy

 

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Mme Chantal ALLAIN

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Père EDDIE.

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Mr Paul BOGAERT, Président de l'A.A.A. des Groupes Lourds, nos amis anglais, Mr et Mme Beryl DENNETT STANNARD Président de la RAFA Sud-Ouest, Mr Ian REED Directeur du YORKSHIREAIRMUSEUM, et Mr Des MAHON.

 

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Dépôt de gerbes au Monument aux morts de la ville

Place de l'église Notre Dame de Grandcamp-Maisy 

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Nos trois anciens Lucien MALLIA, Camille COQUOT, Jean BILLAUD.

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Ian REED, (Directeur du YORKSHIREAIRMUSEUM), Jean BILLAUD (2/23 Guyenne), Camille COQUOT (2/23 Guyenne) Lucien MALLIA (2/23 Guyenne) Mme Beryl DENNETT STANNARD (Présidente de la RAFA Sud-Ouest).

www.yorkshireairmuseum.co.uk

http://rafasudouest.googlepages.com/home

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Assemblée Générale Ordinaire (à la salle communale)

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Mr Serge BIGOT Maire de Grandcamp-Maisy, Mr Paul BOGAERT Président de l'A.A.A. des Groupes Lourds, Mr Dominique THIRY Vice président.

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Mr Serge BIGOT Maire de Grandcamp-Maisy, Mr Paul BOGAERT Président de l'A.A.A. des Groupes Lourds, Mr Dominique THIRY Vice Président, Mr Pierre THIRY Tresorier, Mme Chantal ALLAIN Secrétaire.

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Mme Beryl DENNETT STANNARD Présidente de la RAFA Sud-Ouest, Colonel DABADIE.

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Cérémonie au Mémorial des Groupes Lourds sur le port.

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De gauche à droite:

Mr Paul BOGAERT Président de l'AAA des Groupes Lourds, Mr Ian REED Directeur du Yorkshire Air Museum, Mme Beryl DENNETT STANNARD Présidente de la RAFA Sud-Ouest, Général de LESPARS, Mr Jean BILLAUD 2/23 Guyenne, Mr Lucien MALLIA 2/23 Guyenne, Mr Camille COQUOT 2/23 Guyenne, Colonel DABADIE, Mr Dominique THIRY Vice Président de l'AAA des Groupes Lourds, Mr Serge BIGOT Maire de Grandcamp-Maisy.

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Discours de Mr Paul BOGAERT.

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De gauche à droite:

Michel LEVASSEUR, porte-drapeau de la Manche, Claude SOUEF, porte-drapeau Calvados/Orne, Jean-Pierre RIVIERE, Vice-président Manche, Jean-Pierre GIRONNE Président Manche, Jean DELROISE Président Calvados/Orne, Marcel DIOLOGENT ANSORAA Seine-Maritime. Vice-président Association JUBILEE DIEPPE.

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Général de LESPARS, Jean BILLAUD, Lucien MALLIA, Camille COQUOT, Colonel DABADIE, Sergent GINEUX organisateur de la cérémonie.

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Général de LESPARS, Sergent GINEUX.

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Jean BILLAUD, Lucien MALLIA, Camille COQUOT, Colonel DABADIE. 

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Nos amis anglais Mr Ian REED et Mme Beryl DENNETT STANNARD.

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Le remerciement aux Associations Patriotiques.

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Camille COQUOT, Jean-Michel GRAVAUD, Ian REED, Jean BILLAUD, Lucien MALLIA.

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Philippe DUCASTELLE, Camille COQUOT, Ian REED, Jean BILLAUD, Lucien MALLIA.

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Des amis anglais

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Apéritif suivi du repas annuel de l'Association.

 

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Mr Jean-Paul HIBLOT membre consultatif de l'A.A.A. des Groupes Lourds. 

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Discours de Mr Paul BOGAERT.

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Discours de Mme Beryl DENNETT STANNARD

http://rafasudouest.googlepages.com/home

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Visite de la batterie de Maisy

Grandcamp_Maisy_1947_1

Vue aérienne de Maisy et la batterie des pérruques prise en 1947.

(collection: Gilbert SALA)

 

img544

 

Récit de Mr Marcel DESTORS

le jour du bombardement de la

Batterie des Pérruques

commune de Maisy.

JOURNAL DE GUERRE

Juin-Juillet-Août 1944

Un régiment allemand de D.C.A. était venu s'installer sur une ligne de la Tonnellerie et allant vers la Cambe.

La ferme, elle-même, était entourée de mitrailleuses lourdes. A 500 mètres, étaient mis en batterie, des canons qui, deux heures après leur arrivée, tiraient sur les escadres aériennes anglaises.

Ce voisinage ne me plaisait pas beaucoup...

Dans la nuit de dimanche, Anne et moi sommes réveillés par un bombardement violent. Les Perruques étaient bombardées, mais également à première vue, Maisy.

Je fais descendre les enfants à demi-habillés et sous le sifflement des bombes nous filons à la tranchée préparée au fond du jardin. On récite le Confiteor et le Souvenez-vous, puis je retourne à la maison où les carreaux tombent, mais c'est la fin du bombardement.

Je pars à Maisy prendre mon poste de Chef de la défense passive. Je traverse des maisons éboulées, j'arrive au carrefour et j'apprends qu'il a des victimes au lavoir. J'y cours. Le menuisier avec une bêche essaye de dégager une femme prise jusqu'à la taille, elle appelle ses petits (6) qui sont sous les décombres et dont quelques uns gémissent.

Les secours et les outils arrivent, mais il faut aller doucement pour ménager les survivants peu nombreux.

Le D.P.K. de Grandcamp arrive ainsi que les pompiers. Iy a trop de monde. Je recommande, je gueule même. On vient me chercher pour dégager une autre maison où une mère et son fils doivent être... Au bout d'une heure, on découvre qu'il est mort, puis sa mère en bouillie...

Je retourne au lavoir, on a dégagé la mère, le père et trois enfants, par contre les trois enfants sont morts. Par ailleurs, une famille entière, père, mère et quatre enfants sont morts. Tous sont mis dans des draps et transportés dans la salle de classe.

Le maire, monsieur Damecour, est commotionné et blessé à la figure par des éclats de vitres. Les blessés sont soignés au poste de secours puis dirigés sur Bayeux.

A 9heures, je rentre à la maison pour rassurer Anne. Je déjeune à la hate et lui dit de préparer son départ chez les Costrel à 15 heures le jour même avec les enfants.

Je retourne au village. Il faut songer à ensevelir tous ces morts très abîmes. Il fait chaud, le pays a pris peur et chacun cherche une voiture, un cheval pour partir. C'est l'exode.

A 15H30 Anne part en petite voiture avec les petits; la charette suit avec matelas et couverture. Monique prend en outre une famille de réfigiés qui va dans le même sens qu'eux.

Je suis donc seul mais soulagé du poids de les voir courir un danger que je sens imminent. Je ferme la maison, retourne au village qui est déjà presque mort. Je fais partir par des moyens de fortune les derniers malheureux sans moyens.

Je retourne à 19 heures à la maison pour voir si la traite des vaches est assurée. Mon garde aidé de deux femmes, Amandine et une autre, traient les vaches. Je dîne sans appétit et range la maison. Je dois prendre mon service à minuit.

A 23 heures, les officiers allemands de la D.C.A. me demandent des chambres pour se laver. Je leur montre les chambres déjà requises; ils s'installent tant mal que bien. Je ferme tout et m'en vais prendre mon poste au carrefour pour la surveillance des biens avec un homme de Maisy et deux marins de Grandcamp. J'ai de plus une autre équipe de quatre hommes qui doit regagner le hameau vers Grandcamp. Je donne mes consignes.

A minuit, je renvoie ceux qui gardaient les morts. Les gendarmes français s'en vont à leur tour. Le village est lugubre. Il fait beau ! Quelques avions sont salués par la D.C.A. de la Tonnellerie. Je repère un fossé pour nous mettre à l'abri en cas de besoin. Gros bombardement sur le Cotentin pendant 32 minutes. C'est effrayant !

A 3 heures 30, un avion volant assez bas arrive à Grandcamp. Il lance une fusée rouge sur les Perruques et verte sur la Tonnellerie. Nous rentrons dans notre fossé et nous y sommes à peine que le sifflement des bombes se fait entendre. Cela manque de charme. Je me fais tout petit, les mains sur la tête, mais à part un peu de terre, rien ne vient jusqu'à nous. Durée: 15', cela suffit. Je pars avec un homme faire un tour dans le village voir les dégâts et voir si l'autre équipe est saine et sauve. Pas de dégâts mais l'autre équipe n'a pas répondu à mes appels. J'ai le coeur un peu serré, mais elle a peut-être fui ou cherché un abri ailleurs.

Je regagne le bourg pour assister à un nouveau bombardement du Cotentin, aussi violent que le premier, mais la D.C.A. de la ferme se met à cracher; les balles explosives passent au-dessus de nos têtes. Nous nous mettons à l'abri au même moment où arrive un nouvel avion avec fusées éclairantes.

Nouveau bombardement de Maisy. Nous nous aplatissons. Une bombe éclate tout à côté, mais seule la terre arrive à nous (durée 17').

Le jour se lève, il est 6 heures, j'entends marcher sur la route: c'est Léger et son fils qui sortaient de chez eux. J'ignorais leur présence dans le village. Peu après, c'est Delaporte, nous sommes sept. Le garde champêtre arrive de Grandcamp, il se joint à nous; A ce moment, des sifflements passent au-dessus de nos têtes et éclatent vers les Perruques. A n'en pas douter, c'est le débarquement américain, c'est la flotte qui tire. Notre trou est insuffisant. Les marins de Grandcamp nous quittent. Je les remercie chaleureusement puis à la queue leu-leu nous gagnons une tranchée connue et bonne. Au milieu du bourg nous recueillons le curé, sa mère et Mlle Villiers.

Il faut songer à manger. Je pars chercher du pain, du cidre. Je vais chercher Pierre Leroutier. Nous sommes maintenant une dizaine, mais les obus continuent à siffler. Après avoir mangé pain, beurre et un peu de viande froide, je pars avec Leroutier me rendre compte de l'état de ma ferme. Celle de Mme Gonon est coupée en deux avec trois vieillards sous les décombres. Je continue, le coeur serré. Hélas, ma maison est coupée en deux, le reste est soufflé et je pleure. Je fonce, la partie debout est dans un désordre indescriptible. Tout a été pillé par les allemands. J'arrive à ma chambre, je sauve des couvertures, des châles. Je trouve du sucre, des haricots. Tous les animaux sont a l'abandon: porcs, vaches dans le potager qui est ravagé. Les communs n'ont pas trop souffert mais les gardes ne sont pas là.

Ils ne sont pas morts me disent les allemands qui sont dans la cour. Je leur demande du pain, ils m'en donnent, je m'en vais l'âme en peine. En revenant, je retrouve quelques familles qui reviennent du fond des champs. Ils m'apprennent la mort d'Amandine, la trayeuse qui m'avait aidé la veille au soir ainsi que de son fils.

J'emmène tout le monde à la tranchée. Il y a 10 enfants dont un blessé et environ 30 personnes. Il me faut nourrir tout ce monde. J'organise une cantine avec un cafetier. Mes haricots, ma volaille tuée, tout y passe. Il faut maintenant chercher les morts, ensevelir ceux de la veille, rechercher mes quatre camarades de la D.P. et enfin assurer la traite des vaches. Nous sommes six hommes valides et quatre femmes capables. J'espère que les autres fermiers vont revenir. Je recherche les 4 camarades mais en vain. Où sont-ils ? Je ne peux croire qu'ils soient morts. Nous nous retrouvons le soir sans rien. J'ai fait creuser une nouvelle tranchée abri pour les hommes. Je fais faire des cercueils provisoires à Grandcamp. Nous couchons dans la tranchée, sommeil léger mais nuit calme. Avions nombreux.

MERCREDI

Je mets une équipe pour rechercher les trois veillards ensevelis sous la ferme Gonon. Travail difficile car les murs sont branlants. Je vais avec deux hommes chercher les camarades. Nous sommes repérés: trois obus arrivent à proximité. Nous abandonnons nos recherches. Nous y revenons à 10 heures. Au bout de deux heures, nous retrouvons les trois malheureux, étouffés. Les sortir, puis faire la toilette, je la fais moi-même. Les mettre dans des draps, les ramener à la mairie, reconnaissance par les familles. C'est déchirant, c'est dur. Il me faut un coeur de pierre et parler ferme.

Après-midi, je vais chercher le corps d'Amandine et de son fils. Travail pénible et fatiguant. Trajet bouleversé par les bombes, survolé par les avions, allemands en retraite, quel métier ! Il faut ensevelir tous les corps qui s'abîment. Je fais ouvrir et creuse moi-même une grande fosse dans le cimetière. Nous sommes trois. C'est insuffisant. Il faut aller vite. Le soir, couché dans le fossé, la tranchée est trop incommode.

JEUDI

A 8 heures 30, je continue à creuser la fosse. Le curée m'appelle et me montre le ciboire qu'il a réussi à tirer du tabernacle sous les décombres. Je communie avec lui à 10 heures pour éviter la profanation des espèces. Je suis très ému.

Je vais à Grandcamp remercier le maire, la D.P., le service de santé de l'aide apportée à notre commune. Je dois avoir une tête à faire peur, pas lavé depuis quatre jour, fatigué. Je suis très bien accueilli par tous. J'ai trouvé trois hommes de renfort pour la fosse qui avance et sera prête ce soir. Après le déjeuner, nouvelle reconnaissance des morts, puis je vais me laver. Je n'ai pas le temps. Nouvelle rafale d'obus qui tombe sur le bourg. Chacun s'abrite comme il peut. Le calme est revenu, je vais voir ce que sont devenus nos hommes. Rien de cassé !

Mais je fais travailler par quart d'heures, par équipes de quatre. A 15h30, les premiers corps sont placés, bénis puis recouverts à 17 heures. C'est le tour des enfants à 18h30. Il reste un cercueil à amener.

A ce moment là, nouvelle rafale d'obus sur le clocher, dans la fosse. Je sens une douleur à l'épaule, mais m'écarte du clocher que je crains de voir s'effondrer sur moi. Je revient deux minutes après.

Nouveau deuil: Patureau, Quelle, Letellier sont tués. Le fils Léger est blessé à la jambe. Nous regagnons tous la tranchée la mort dans l'âme et heureusement à temps pour éviter le tir d'efficacité sur l'église et le bourg. Tir qui dure 20'. C'est terrible de voir notre belle église s'en aller en lambeaux.

A la tranchée, G.Odienne soigne le fils Léger dont tout le gras de la jambe gauche a été enlevé. Elle le fait avec délicatesse et douceur, mais la plaie est à vif et la douleur est grande pour ce malheureux. A mon tour, j'ai affaire à ses bons soins, mais ma plaie est bénigne. Un petit éclat a du pénétrer dans l'omoplate gauche. Je ne souffre pas mais j'ai le bras assez lourd. J'ai saigné pas mal: canadienne, veston, chemise, sont maculés de sang. Je vais m'étendre dans la tranchée près de Léger, mais son père désire me parler et je sors en rampant, mon bras étant plus douloureux.

J'apprends que Quelle respire encore. Je donne l'ordre à Léger, Yonnel et Delaporte de le ramener avec précaution jusqu'à un point convenable d'où ils peuvent me faire signe.

Je me couche dans l'herbe en attendant le signal. Celui-ci tarde à venir. J'envoie Jean Gilbert qui revient assez vite avec ses trois camarades. Quelle est à toute extrémité, ses blessures sont multiples. Ils l'ont pansé du mieux qu'ils pouvaient, mais les obus commençant à nouveau à tomber, ils n'ont pu le ramener plus près. Nous rentrons tous dans la tranchée. J'interdis à tout le monde de sortir. Le repas du soir consistera en lait, jambon, pain. J'essaie de manger mais je n'ai guère faim.

Les hommes font le guet à tour de rôle. Des coups de feu partent un peu partout surtout vers l'église et vers la Tonnellerie. Je somnole mais j'ai des cauchemars. A 2 heures du matin, Léger arrive avec un infirmier américain qui panse les plaies de son fils, de moi-même. J'ai très soif.

Le matin arrive. Il fait toujours beau mais orageux. Mes camarades veulent absolument me descendre à l'infirmerie de Grandcamp. Aussi c'est dans un tel équipage que j'arrive au poste de secours où je suis admirablement soigné et dorloté. Le docteur refait mon pansement. Je m'endors plus calme.

L'après-midi il est décidé de nous embarquer vers une ambulance américaine de St Laurent. Le départ a lieu vers 16 heures. Route très encombrée de matériels de toutes sortes. Nous allons très lentement mais la Croix Rouge de la voiture fait s'écarter les autres véhicules. Arrivés à St Laurent, je constate que l'ambulance est installée dans une petite vallée où nous avions piqueniqué quelques mois auparavant avec G. de Gouville.

Nous sommes bien reçus mais ma blessure étant plus bénigne, je suis soigné le dernier puis conduit sous une tente où je retrouve Léger et quelques habitants de la Gambe. Je dîne d'un repas individuel donné par un américain avec qui j'ai longuement parlé au cours de mon attente dans la tente précédente. A 10 heures, émotion: alerte aux gaz. Il ne manquait plus que cela ! Mais l'émotion dure peu. C'est une fausse alerte. J'ai toujours soif et dors assez mal.

Marcel DESTORS.

 

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Plaque commémorative a la mémoire des habitants de Maisy.

 

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De gauche à droite:

Christian PELISSIER, Yvonne FINALE, Nicole ROUSSEAU-PAYEN, Philip BOGAERT, Paul BOGAERT.

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Grandcamp (2)

(collection: Gilbert SALA)

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Mr Christian PELISSIER membre consultatif de l'A.A.A. des Groupes Lourds.

 

grandcamp-maisy

Soldat américain au périscope de la batterie de Maisy.

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grandcamp (3)

La batterie des pérruques, on aperçoit bien les impacts des trous de bombes autour de la batterie.

(collection: Gilbert SALA)

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Grandcamp_Maisy_1947_4

(collection: Gilbert SALA)

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Laurent TROUSSE, Dominique THIRY, Paul BOGAERT, Nicole ROUSSEAU-PAYEN, Corinne TROUSSE, Philip BOGAERT, Yvonne FINALE, Pierre THIRY.

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Ian REED, Paul BOGAERT, Corinne TROUSSE, Laurent TROUSSE, Dominique THIRY, Philip BOGAERT, Mme BOGAERT, Nicole ROUSSEAU-PAYEN, Philippe DUCASTELLE, Pierre THIRY.

365

 Ian REED, Paul BOGAERT, Corinne TROUSSE, Laurent TROUSSE, Yvonne FINALE, Philip BOGAERT, Dominique THIRY, Nicole ROUSSEAU-PAYEN, Christian PELISSIER, Pierre THIRY.

 

GCM_13

(collection: Paul BOGAERT) 

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Quelques photos des plages du débarquement

Port en Bessin

Port pétrolier du débarquement

 

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OMAHA BEACH

146e Engineer Combat Battalion

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http://www.americandday.org/D-Day/146th_Engineers_Combat_Battalion_Order_of_battle.html

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http://www.americandday.org/D-Day/299th_Engineers_Combat_Battalion_Order_of_battle.html

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Arromanches.

 

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(collection: Ducastelle Philippe)

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Commentaires
C
Merci pour ces photos!!!<br /> <br /> Et vive nos héros... dont mon grand-père Lucien Mallia!!!
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J
Merci pour ces belles images qui me font regretter d'être si loin et de ne pouvoir dire mon admiration à mes Grands Anciens.Mes amitiés à tous et toutes et plus particuliérement à Nicole et Paul que j'ai le plaisir de connaître.Jacques.
Répondre
J
Belle cérémonie. Merci au reporter photographe pour tous ces clichés !
Répondre
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